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Jacques Cresta – « La fronde » contre l’ancien « frondeur » Benoît Hamon

Article mis à jour le 1 février 2017 à 02:32

Lors du résultat des primaires de gauche qui ont vu Benoît Hamon devenir le candidat qui portera la candidature Socialiste à la prochaine élection présidentielle, Jacques Cresta avait évoqué une réunion qui aurait lieu ce mardi.


La fronde contre l’ancien frondeur
Le Député de la première circonscription des Pyréénées-Orientales candidat socialiste à sa réélection, fait partie des signataires qui « actent leur retrait de la campagne de Benoît Hamon dans l’attente de gestes forts de sa part sur des propositions clefs de son programme. Revenu Universel, Référendum citoyen … de plus, difficile de soutenir quelqu’un qui s’est assis sur les décisions prises à une large majorité par le groupe Parti Socialiste.

Le député faisant référence à la position de « Frondeur » que Benoît Hamon a portée durant le mandat de François Hollande : « Je ne fronde pas mais je ne soutiens pas tout en restant au Parti Socialiste ». Certains députés socialistes accusaient leurs collègues ayant fait le choix de « La fronde » : « pour partie responsables de l’échec de François Hollande ».

Le soutien à Emmanuel Macron ?
Le député n’a pas encore arrêté sa décision sur son soutien à Emmanuel Macron : « Quant au soutien à Macron je me donne quelques jours de réflexion ». 

D’autres signataires semblent également tentés par un soutien à l’ancien Ministre de l’Economie de François Hollande. En effet Christophe Caresche, député socialiste de Paris et signataire de ce « droit de retrait », partageait sur tweeter la lettre d’Alain Calmette qui avait, lui choisit de rejoindre Emmanuel Macron dès le 29 janvier 2017 (date butoir qu’avait donné ce dernier pour déposer sa candidature aux législatives avec le mouvement En Marche).

Des ralliements que le mouvement En Marche 66 et son référent départemental voient avec bienveillance. Rappelant toutefois que ralliement n’était pas synonyme d’investiture. Ces dernières ne seront décidées qu’au mois de mars par une commission nationale et validées « personnellement » par le candidat Macron.

Le journaliste politique du Figaro Arthur Berdah tweetait les prises de parole de certains des députés qui ont décidé d’exercer leur droit de retrait de la campagne de Benoît Hamon.

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