Article mis à jour le 26 juillet 2018 à 21:12
C’est devenu le rendez-vous estival régulier des amoureux du jazz et des musiques du monde. Cette année, l’événement empruntera les couleurs et les sonorités de l’Afrique. Le Monastir Del Camp de Passà ouvrira ses portes ce 28 juillet dès 19h. Informations et réservations sur le site Jazzèbre. Le festival Jazzèbre qui fêtera en septembre prochain ses 30 ans !
♦ Le quintet parisien Akale Wubé invite la légende vivante de la musique éthiopienne : Girma Bèyènè
Les cinq garçons parisiens complètent, pour leur nouvel album, leur collection « Ethiopique ». L’occasion pour le quintet de s’associer dès 2016 avec l’un des artistes les plus créatifs et prolifiques de la scène musicale éthiopienne. Girma Bèyènè est qualifié de « musicien glorieux mais maladivement modeste, séducteur mais foudroyé par l’amour, expert en effacement mais rebelle toujours ».
Selon la radio FIP, « le chanteur septuagénaire Girma Bèyènè n’a que trop peu laissé de traces discographiques en tant que soliste , c’est surtout comme pianiste et organiste, compositeur et arrangeur que Girma marquera de son empreinte ce qu’il est convenu d’appeler aujourd’hui l’âge d’or de la musique éthiopienne. Après un exil aux Etats-Unis et un silence radio qui a duré 25 ans, il a accepté l’invitation du groupe Akalé Wubé à revenir sur le devant de la scène ».
Un comeback à ne pas manquer tant il est, selon les amateurs, exceptionnel !
♦ Les percussions du Sénégal dialogue entre rythme et modernité
Du gracile Tama au formidable Tabal en passant par le Sowruba, le Djembé et toute la gamme des tambours du Sabar, les cinq musiciens du Ngueweul Rythme revisitent à leur manière les percussions traditionnelles des différents peuples du Sénégal dans un dialogue original avec la modernité où rythmes, danse et chant se mêlent pour former un spectacle total et chatoyant d’une rare intensité, véhiculant un message universel de paix et de fraternité.