Article mis à jour le 12 janvier 2017 à 20:22
C’est lors de voeux à la presse que le premier édile a répondu à une question posée sur son éventuelle candidature en 2020.
Interrogé sur un éventuel deuxième mandat, Jean-Marc Pujol a répondu : « Je préfère attendre pour donner ma décision, pour ne pas créer de tension auprès de l’équipe et de la population ». Relancé sur le sujet d’une éventuelle candidature : « Je ne l’exclus pas mais je ne l’annoncerai qu’en milieu d’année 2019 »
Interrogé sur le sujet, son directeur de cabinet, Michel Sitja « regrette » que Jean-Marc Pujol se soit « exprimé trop tôt en disant qu’il ne se représenterait pas, dans la vie on ne sait jamais ». Michel Sitja est revenu sur le début de mandat. « Il n’y a pas eu d’état de grâce en début de mandat », en précisant qu’en 2014 « beaucoup d’électeurs avaient voté contre, plutôt que pour… ». Revenant aussi sur la Présidence à la tête de l’agglomération, devenue métropole depuis, « une candidature qui a été mal comprise par les perpignanais ».
♦ « On n’est pas élu sur un bilan mais cela donne du crédit à un programme ! »
Et le bilan est bon, pour celui que certains qualifient « d’homme de l’ombre » de l’équipe de Jean-Marc Pujol, 2017 est une année importante dans le mandat, une année d’inaugurations, de réalisations concrètes. Avec « le retour de l’université en centre-ville, la rénovation de la quasi totalité du patrimoine de Perpignan. L’ouverture d’un musée, Perpignan sera l’une des seules villes en France à le faire ! Nous avons des opportunités à saisir (en référence à la possible installation de l’office de tourisme dans les locaux de la loge de mer), et nous avons les finances pour ». Quant à la date de la décision, « je ferai tout pour que la décision soit prise en fin d’année 2018 ».
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