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Marine Le Pen à Perpignan – Aux abords du meeting

Article mis à jour le 16 avril 2017 à 12:59

Selon la police, 250 manifestants se sont positionnés aux abords du palais des congrès. Des manifestants très remontés qui accueillaient tous les participants au meeting de Marine Le Pen par un concert de sifflets ou par des « Le Pen en prison ». Rien n’est allé au delà de l’échange de propos fleuris entre pro et anti-FN.


Pour les contenir et éviter les incidents, un dispositif impressionnant d’une centaine de fonctionnaires de police et gendarmerie était mobilisé. Quant au meeting lui-même c’est un service d’ordre privé qui assurait le filtrage et la fouille avant le passage sous l’un des six portiques de sécurité installés pour l’occasion. Rien ne manquait pour que la sécurité soit pleinement assurée et pour filtrer les 1 500 participants au meeting qui s’est déroulée sans heurts ni débordements.

Peu de temps avant, aux pieds du Castillet, ils étaient 150 à avoir répondu présents à l’appel de différentes organisations, dont la CGT, le Nouveau Parti Anticapitaliste ou encore, le Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié des Peuples, le Mouvement pour la Paix ou Femmes Solidaires. Les organisateurs qui se qualifiaient de « progressistes » entendaient répondre au fait que Le Front National se croyait « en pays conquis dans le département des Pyrénées-Orientales ». Ils veulent dire « STOP au FN ! Non à sa politique réactionnaire ! » rappelant que « Le programme du FN n’est qu’une aggravation de ce que nous subissons déjà actuellement. Il ne s’agit que de restrictions des droits et libertés de chacun(e)s : remise en cause des droits sociaux, des droits des travailleur-ses, des femmes, des immigré(e)s ; banalisation et amplification de l’état d’urgence, du racisme, de l’antisémitisme, de l’islamophobie ».

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Maïté Torres