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Revue de presse du 4 février, ils ont parlé de Perpignan et des Pyrénées-Orientales

Revue de presse du 4 février, ils ont parlé de Perpignan et des Pyrénées-Orientales

Article mis à jour le 11 février 2024 à 08:37

Au programme de la revue de presse du 4 février 2024 ? Tomate locale VS tomate marocaine ? Sécheresse, colère des buralistes et changement de nom du département. Mais aussi le champion du froid décarbonné et cette carte postale des Pyrénées-Orientales qui met 35 ans à arriver à bon port.

Vous l’avez manqué ? Lire ou relire la revue de presse du 28 janvier 2024.

Via Saint-Charles, la tomate marocaine ciblée par les agriculteurs catalans

Le Monde / Au Maroc, les producteurs de tomates assurent que les agriculteurs français se trompent de cible

Accusés d’inonder les supermarchés avec des tomates à bas prix, les professionnels marocains plaident le respect d’un accord de libre-échange « très strict ». Elles sont devenues le symbole de la « concurrence déloyale » dont les agriculteurs français se disent victimes. Des tomates marocaines ont été déversées, par milliers, ces dernières semaines sur les parkings des supermarchés de l’Hexagone, accusées d’être surreprésentées dans les rayons à des tarifs très bas. (…) Plusieurs sociétés de premier plan ont leurs sièges sociaux dans le sud de la France, produisant au Maroc des tomates qu’elles conditionnent ensuite dans l’Hexagone.

C’est le cas du géant Azura, né en 1998 de l’alliance entre l’homme d’affaires marocain Mohamed Tazi et l’entrepreneur breton Jean-Marie Le Gall. Aujourd’hui décédé, ce dernier est connu en France pour avoir fondé la coopérative finistérienne Savéol, un leader français de la tomate. Basé à Perpignan, Azura chiffre à « 16 000 » le nombre de ses salariés et à « 400 millions d’euros » le montant de son chiffre d’affaires en 2022. Ses principaux clients en France sont des enseignes de la grande distribution. Contacté par Le Monde, Azura n’a pas donné suite à nos sollicitations.

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Après la colère des agriculteurs, celle des buralistes

BFMTv / Tabac: les buralistes à l’offensive face à la baisse du marché et aux hausses de prix

Alors que le marché du tabac a baissé de 1,1% en valeur et de 7,9% en volume, les buralistes demandent, notamment, que la réglementation européenne en matière d’importation de cartouches soit revue. Entre la baisse du marché des cigarettes en 2023 et une nouvelle hausse des prix attendue jeudi, les buralistes misent plus que jamais sur la diversification sans abandonner leur cheval de bataille, la lutte contre le marché parallèle. (…)

Dernière en date, la vente de munitions, autorisée depuis le 1er janvier, sera expérimentée début février dans les Pyrénées-Orientales chez 14 buralistes, avant d’être déployée dans le reste du pays au deuxième semestre. « Ce sont des pouillèmes de rémunération mais cela nous permet de rétablir un flux de clientèle », essentiel à la vie des commerces, conclut Philippe Coy.

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La sécheresse des Pyrénées-Orientales toujours bien présente

La Tribune / Sécheresse : dans les Pyrénées-Orientales, une quête de solutions pour « passer le cap de la crise avec le moins de dégâts possibles » 

On est en plein hiver mais déjà, le département des Pyrénées-Orientales a soif. La situation s’avère plus dégradée que l’an passé à même époque, et pour le court terme, le seul espoir, ce sont les économies d’eau… Point d’étape. En conviant la presse au comité de gestion des politiques de l’eau, le 30 janvier, le préfet des Pyrénées-Orientales, Thierry Bonnier, voulait donner à voir la façon dont tous les acteurs du dossier pouvaient parler ensemble. Plus de cinquante personnes se sont donc retrouvées dans une vaste salle de l’hôtel du Département pour envisager 2024, année qui s’annonce sous de pires auspices que 2023.

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Les Pyrénées-Orientales seront-ils débaptisés ?

Le Bien Public / « Changer le nom de notre département ? Et puis quoi encore !? » 

Si le Département des Pyrénées-Orientales a décidé de lancer une consultation pour éventuellement changer son nom, qu’en serait-il pour la Côte-d’Or ? C’est ce que nous avons voulu vous demander ce vendredi. Et force est de constater que vous êtes une grande majorité à être très attachés à cette dénomination.

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Le champion du froid décarbonné vient des Pyrénées-Orientales

Les Echos / Coldway Technologies teste un stockeur d’énergie décarbonée à base d’ammoniac

Le stockeur d’énergie décarbonée Thermostore, doublement primé par Business France lors du CES 2024 de Las Vegas, va s’attaquer à partir de 2026 aux secteurs résidentiel, industriel et des transports. Obtenir du chaud ou du froid en se passant d’électricité. Mis au point par la PME catalane Coldway Technologies , et détenu depuis 2018 par Sofrigam Group, le stockeur d’énergie décarbonée Thermostore s’est fait remarquer au CES 2024 de Las Vegas, début janvier , en y remportant un double prix de Business France : la meilleure innovation française et greentech. (…)

Issue du CNRS de Perpignan il y a plus de vingt ans, cette technologie innovante n’a pas besoin d’être raccordée aux réseaux traditionnels. « Nous pourrons proposer de petites unités privatives, avec différentes tailles et puissances de batteries techniques. Cela démocratisera l’usage de l’énergie décarbonée », projette Gilles Labranque, qui est aussi président de Coldway Technologies.

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La carte postale des Pyrénées-Orientales met 35 ans pour arriver chez son destinataire

Le Point / Loiret : 35 ans après, une carte postale enfin livrée

Une famille habitant Saint-Denis-de-l’Hôtel a reçu une carte destinée à l’ancienne locataire de la maison. C’est son frère qui la lui avait envoyée en… 1989. (…) « Michèle m’a demandé d’ouvrir l’enveloppe et de lui lire la carte », raconte auprès du journal Nelly Benedet. La carte avait été envoyée depuis les Pyrénées-Orientales, où le frère de Michèle Lejarre, Jean-François, séjournait pour des vacances en juillet 1989.

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