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Revue de presse 3 mars, ils ont parlé de Perpignan et des Pyrénées-Orientales

Revue de presse 3 mars, ils ont parlé de Perpignan et des Pyrénées-Orientales

Article mis à jour le 10 mars 2024 à 11:21

Au programme de la revue de presse du 3 mars 2024 ? Le défi de la logistique face aux désordres du monde. Un antiquaire de Perpignan dans le Figaro mag. Et les pérégrinations du RN catalan dans les médias nationaux.

Vous l’avez manqué ? Lire ou relire la revue de presse du 25 février 2024.

Logistique et pénuries, France Inter questionne une enseignante de l’université de Perpignan

France Inter / Faut-il se préparer aux pénuries ?

Les ressources nécessaires à nos sociétés productivistes sont-elles menacées de pénuries et à quelle échéance ? Alors que le sujet semblait appartenir au passé, de récents évènements comme la guerre en Ukraine, le blocage du canal de Suez ou la pandémie, font revenir les pénuries sur le devant de l’actualité. (…) Spécialiste des aspects logistiques et professeure à l’université de Perpignan, Sophie Masson nous éclaire sur le fonctionnement de nos sociétés de flux et sur la façon dont le système complexe de nos chaines d’approvisionnement pourrait se gripper.

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Un antiquaire perpignanais témoigne dans le Figaro Magazine

Le Figaro / Trentenaires et passionnés du patrimoine : un vent nouveau souffle chez les antiquaires

C’est un monde que l’on imagine un peu poussiéreux. Un univers feutré et nostalgique, comme ces boutiques de magie nichées au fond d’une ruelle, cachées dans les détours d’un marché aux puces ou tirées de l’imagination de tirées de l’imagination de J. K. Rowling, dans sa saga Harry Potter. Un peu à l’image de ces cabinets de curiosités hors du temps qu’on pouvait voir autrefois chez un vieil oncle collectionneur, aimable et mystérieux. Pour beaucoup de Français, franchir la porte d’un magasin d’antiquités s’apparente, en effet, à pénétrer dans un lieu mal rangé et sombre, où somnole un marchand chenu qui veille sur des trésors et des œuvres d’art attendant de trouver un acquéreur averti.

Pourtant, chez Marius Simon dans l’Eure, chez Mathieu Py, à Perpignan, comme chez Julien Leroy, à Angers, et Anna Currenti, à Bordeaux, ou dans la galerie Artwins, à Paris, où se sont associées un temps Alix Basier et Caroline Thieffry, il y a beaucoup plus de lumière que d’ombre, et les objets sont là pour être vus par tous, connaisseurs, amateurs et simples curieux.

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Louis Aliot dans le champ des caméras attirées par Marine Le Pen

Libération / Au Salon de l’agriculture, Le Pen corrige Bardella sur les prix planchers

Pour sa visite à la porte de Versailles, entourée de caméras, la cheffe du Rassemblement national a volé au secours de son dauphin et ses changements de pied sur la proposition de prix garantis pour les agriculteurs. C’est la Complainte de l’aveugle de Wojciech Kilar. La masse sombre avance à pas lents, s’arrête, puis reprend sa marche. Une nuée de journalistes, micros pointés vers une crinière blonde, accompagne la triste valse. Des badauds veulent savoir qui est au milieu, mais font face à un rideau de dos noirs. Marine Le Pen fait ce mercredi 28 février sa promenade annuelle au Salon de l’agriculture et le groupe compact prive du réel la patronne de l’extrême droite française. Service de sécurité, équipe, elle s’est aussi flanquée de la mutique Hélène Laporte, vice-présidente Rassemblement national de l’Assemblée. (…)

Voilà pour le moment politique du jour. Autour de la présidente du groupe RN à l’Assemblée, pas d’engouement particulier. Des curieux. Quelques selfies sont réclamés : un type joyeux, deux gamines qui trouvent Le Pen «ridée». À l’écart, Sébastien Chenu (autre vice-président RN de l’Assemblée) ricane avec son groupe. Louis Aliot, le maire de Perpignan, est venu passer une tête.

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Réponse du garde des sceaux à une députée RN des Pyrénées-Orientales, Marine Le Pen renonce à sa plainte

Le Figaro / Écarter les «nazillons» du RN: Marine Le Pen n’a pas porté plainte contre Dupond-Moretti

Contrairement à ce qu’elle avait annoncé, la présidente du groupe RN à l’Assemblée n’a pas porté plainte contre le garde des Sceaux, qui avait appelé fin novembre le Rassemblement national à «chasser de ses rangs» les «identitaires, nazillons, racistes et antisémites». (…)

Le ministre de la Justice ne peut faire l’objet de poursuites en raison d’une immunité prévue par la loi de 1881 sur la liberté de la presse. Cette loi, en son article 41, prévoit que «ne donneront ouverture à aucune action (judiciaire) les discours tenus dans le sein de l’Assemblée nationale ou du Sénat». Lors de la traditionnelle session de questions au gouvernement le 28 novembre, le Garde des Sceaux avait été critiqué par la députée RN Michèle Martinez (Pyrénées-Orientales) pour sa «promptitude à dénoncer la légitime indignation de l’opposition» quant à la mort du jeune Thomas, poignardé à mort dans la Drôme dans la nuit du 17 au 18 novembre, «plutôt que les auteurs de ces faits».

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