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Revue de presse du 25 février, ils ont parlé de Perpignan et des Pyrénées-Orientales

Secheresse Pyrénées-Orientales

Article mis à jour le 3 mars 2024 à 10:22

Au programme de la revue de presse du 25 février 2024 ? Toute la France est sous l’eau. Toute ? Non, un petit territoire résiste encore et toujours à la pluie, et meurt à petit feu sous le coup d’une sécheresse historique…. Mais aussi, la grande détresse des élus ruraux, les passoires thermiques et l’abbaye de Saint-Martin du Canigou.

Vous l’avez manqué ? Lire ou relire la revue de presse du 18 février 2024.

La guerre de l’eau aura-t-elle lieu dans les Pyrénées-Orientales ?

Médiapart : Dans les Pyrénées-Orientales, l’eau de la discorde

Après deux ans sans véritable pluie, les agriculteurs s’interrogent sur la priorité donnée au tourisme, tandis que des collectifs s’organisent pour contester avec vigueur les nouveaux projets d’urbanisation gourmands en eau. Néfiach, Latour-de-France, Vernet-les-Bains et Saint-Génis-des-Fontaines (Pyrénées-Orientales).– Il y a bien eu quelques gouttes ce vendredi. Mais personne ne se fait d’illusions. « Ça ne changera rien », disent en chœur les habitants des Pyrénées-Orientales.

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France Info : « On finit par croire à une malédiction » : les agriculteurs des Pyrénées-Orientales désarmés face à la sécheresse

Il n’y a pas eu de pluies significatives dans ce département depuis presque deux ans. Certains vignerons et agriculteurs tentent de s’adapter en diversifiant leurs cultures. Le soleil tape implacablement sur les vergers de Denis Basserie, producteur d’abricots a Rivesaltes, au nord de Perpignan (Pyrénées-Orientales). Il fait plus de quinze degrés en ce matin de février. L’herbe est calcinée et les abricotiers sont morts sur cette parcelle bio. « Toute la parcelle est condamnée à être arrachée, déplore le producteur. Mais je ne veux pas le faire cette année parce que déjà, je me suis tordu l’estomac à arracher plusieurs hectares de l’autre côté ».

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La grande détresse des élus ruraux 

Le Figaro : « C’est de plus en plus difficile » : la grande démission des maires ruraux

D’après les calculs du Figaro, environ 2000 communes ont changé d’édile au moins une fois depuis 2020. «Une grande lassitude.» C’est par ces mots que Didier Pilon justifiait en août dernier la démission de son mandat de maire de Dizimieu (Isère). Le sexagénaire aura tenu un peu plus de trois ans à la tête de cette commune rurale de 800 habitants. Depuis 2018, le village a connu pas moins de cinq maires différents, dont Christine Bochet entre juillet 2018 et août 2019. (…)

Parcourir la presse quotidienne régionale permet de mieux cerner la nature de ces départs précipités, même si les intéressés s’y livrent souvent par euphémismes. Ils évoquent des « raisons personnelles » ou « de santé ». On les croit volontiers au vu de l’échantillon analysé. Sur une cinquantaine de départs, onze font suite à un décès : crises cardiaques, cancers mais aussi suicides, comme Jean-Marie Trocchi, maire du Poët (Hautes-Alpes) ou Jacky Coll, maire de Bolquère (Pyrénées-Orientales).

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Passoires thermiques, les Pyrénées-Orientales moins concernés

La Croix : Logement : où sont les passoires thermiques en France ?

Dans certaines communes, les logements classés F et G représentent plus de 40 % du parc immobilier et pourraient donc être retirés progressivement du marché locatif. Le sujet est explosif en Île-de-France, mais aussi dans de nombreux départements ruraux. (…) La palme revient à Paris, qui compte 42 % de logements F et G, en grande partie des petites surfaces. Cette part atteint 29 % à Nanterre, 28 % à Argenteuil, 27 % à Saint-Denis et 25 % à Boulogne-Billancourt. (…)

À l’inverse, les dix départements qui comptent le moins de passoires thermiques sont tous situés dans le sud de la France, en particulier sur le pourtour méditerranéen. Dans l’Aude, 10 % des logements sont F ou G. Le taux est de 9 % dans l’Hérault et les Bouches-du-Rhône. Il est de 10 % dans le Gard et le Var. « C’est l’effet climat, avec un besoin de chauffage moins importantqu’ailleurs », précise le patron d’Hello Watt. Une ville comme Marseille, où l’on met souvent en avant l’habitat dégradé, les passoires thermiques ne représentent que 10 % du parc de logement. Le taux est de 9 % à Perpignan, de 10 % à Nîmes et à Toulon, et même de 8 % seulement à Montpellier.

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Saint-Martin du Canigou, sérénité et recueillement au programme des retraites 

Tf1 : Abbaye du Canigou : au sommet des Pyrénées

Nous avons dû marcher une heure pour enfin l’apercevoir. L’abbaye Saint-Martin-du-Canigou perchée à 1 100 mètres d’altitude sur cet éperon rocheux. Voici nos hôtes. Pascale de Sagazan n’est pas religieuse. Elle vit au service de l’abbaye, entourée de fidèles femmes et hommes.

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