Article mis à jour le 14 décembre 2020 à 22:59
Parcourez notre revue de presse nationale (et pas que) publiée tous les dimanches. Un format Made In Perpignan ; les Pyrénées-Orientales sous le prisme des médias nationaux et étrangers.
♦ Covid-19 – S’appuyer sur un partenariat ville-hôpital
⊕ Les Echos / Covid : « Pour la vaccination, l’hôpital a besoin des généralistes »
Les soignants face au coronavirus, épisode 56. Hugues Aumaître est chef du service des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital de Perpignan. « Il faut arrêter de croire que l’hôpital explique la vie aux généralistes », dit-il, plaidant pour un partenariat ville-hôpital. « À Perpignan, nous n’avons pas encore reçu de directive de l’ARS pour les campagnes de vaccination. Mais nous allons pouvoir nous appuyer sur l’étroite collaboration nouée au printemps entre les praticiens hospitaliers et les médecins de ville.
♦ Déconfinement – Tu peux ou tu peux pas ? Tu peux c’est bien, si tu peux pas tant pis.
⊕ Actu.Fr / Ariège et Pyrénées-Orientales : un laissez-passer accordé pour aller faire ses courses en Andorre
Malgré un confinement en vigueur en France jusqu’au 15 décembre, les résidents d’Ariège et des Pyrénées-Orientales bénéficient d’un laissez-passer pour se rendre en Andorre. Une barrière en moins. Depuis le vendredi 4 décembre 2020, tous les habitants d’Ariège et des Pyrénées-Orientales peuvent se rendre en Andorre pour aller y faire leurs courses.
⊕ France Info / Déconfinement : « C’est la déception, on navigue à vue », estime Louis Aliot, maire RN de Perpignan
L’élu du Rassemblement national ne comprend pas que les théâtres et cinéma ne puissent pas rouvrir dès le 15 décembre. « Si ce vaccin ne fonctionne pas et que ça dure, alors on fait quoi ? On congèle l’économie et la vie ? », a-t-il déclaré. Face à une épidémie de Covid-19 qui reste très préoccupante, le premier ministre Jean Castex a présenté jeudi 10 décembre un plan de déconfinement plus restrictif que prévu. Un couvre-feu sera mis en place dès le 15 décembre, de 20h à 6h, y compris le soir du 31 décembre. Les cinémas, théâtres ou musées devront rester fermés trois semaines supplémentaires. Leur réouverture sera réexaminée le 7 janvier prochain. « C’est la déception, on navigue un peu à vue », juge Louis Aliot, le maire Rassemblement national de Perpignan.
♦ Comment adapter son mode vie à la Covid-19 ?
⊕ Le Figaro / Dans les Pyrénées-Orientales, une mairie verse des bons d’achat à ses habitants
À l’Ille-sur-Têt, les 2200 ménages recevront de 20 à 80 euros de la commune à dépenser uniquement dans les petits commerces de proximité. Dans la foulée de la réouverture des commerces jugés «non-essentiels», la mairie d’Ille-sur-Têt dans les Pyrénées-Orientales a choisi de distribuer des bons d’achat à ses 2200 ménages, rapporte France Bleu Roussillon. Au total, la commune va verser 100.000 euros à dépenser uniquement dans les petits commerces de proximité.
⊕ Tout l’Eco / En janvier 2021, l’Idem proposera une séance de rattrapage
C’est une première pour l’école des métiers créatifs et numériques. Installée à Perpignan, l’Idem va en effet proposer une rentrée décalée en janvier. Et intégrer des bacheliers qui feront son année de prépa en sept mois.
♦ Dépakine – Une habitante de Pollestres fait face au géant Sanofi
⊕ Ouest France / Marine Martin alias « Mme Dépakine » : la mère de famille qui veut faire payer Sanofi
Que peut une simple maman sans moyens face à l’État, à une entreprise du CAC 40 et au corps médical ? Tenir bon, et faire éclater l’un des plus retentissants scandales sanitaires après celui du Mediator. Itinéraire d’une obstinée. « Elle m’épate, je suis en totale empathie avec sa révolte », dit d’elle la pneumologue brestoise Irène Frachon, qui fit éclater le scandale du Mediator. Hommage d’une célèbre lanceuse d’alerte à une autre lanceuse d’alerte. Mais à la différence de la « fille de Brest », Marine Martin est directement touchée, dans la chair de sa chair, par le scandale qu’elle dénonce. « Je suis Mme Dépakine » , lance avec auto-dérision cette quadra énergique, avenante et volubile, qui nous reçoit chez elle à Pollestres, près de Perpignan.
♦ Compteurs d’eau, trains de nuit, le compte n’y est pas ?
⊕ Capital / À Perpignan, les compteurs d’eau intelligents ne le sont pas vraiment
L’Association départementale des usagers de l’eau des Pyrénées-Orientales tape du poing sur la table. Dans son viseur, Veolia et surtout ses compteurs d’eau intelligents installés chez les trois quarts des habitants de la Communauté urbaine de Perpignan. En cause, plusieurs cas de dysfonctionnements remontés par des habitants, qui se plaignent d’erreurs sur leur facture.
⊕ Le Parisien / La grande revanche des trains de nuit
L’Europe a annoncé ce mardi l’ouverture de trois lignes de trains de nuit dont une au départ de Paris. Par ailleurs, selon nos informations, le nombre de lignes de trains de nuit devrait être multiplié par trois à partir de 2021 sur le réseau national. […] Il faut dire que, quelques mois plus tôt, la Cour des comptes avait fait marcher sa calculette. Les trains de nuit représentaient 3 % seulement du trafic mais 25 % du déficit des Intercités. Avec des subventions qui représentaient sur certaines lignes, comme Paris – Latour-de-Carol (Pyrénées-Orientales), 180 € par passager.
♦ Incident raciste lors du match PSG / Istanbul
⊕ Télé 7 jours / Racisme lors de PSG / Istanbul : Louis Aliot évoque une affaire « grotesque »
Interrogé sur RMC, Louis Aliot a évoqué l’incident raciste survenue lors du match PSG / Istanbul Basaksehir, qui a conduit à un report de la rencontre. L’ancien vice-président du Front National a évoqué dénoncé une gestion grotesque, et n’a pas hésité à pointer du doigt un problème récurrent dans le football.
♦ Quel accent ? J’ai un accent moi ?
⊕ L’echo start / Glottophobie : leur accent ne les pénalisera plus au travail grâce à une nouvelle loi
Avec votre accent, ce ne sera pas possible » : désormais, cette phrase ne passera plus, au terme d’un processus de recrutement… et pourra coûter jusqu’à trois ans de prison et 45.000 euros d’amende. L’Assemblée nationale a voté, fin novembre, le projet de loi du député de l’Hérault Christophe Euzet, professeur à l’université de Perpignan, qui veut « promouvoir la France des accents » et lutter contre la glottophobie.
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