Article mis à jour le 23 octobre 2022 à 08:57
Au menu de la #RevuedePresse ? Les plans du Centre de Rétention Administrative de Perpignan rendus publics grâce à l’Open Data. Piétonnisation à Perpignan, on en parle ? Sans oublier la course de Louis Aliot pour la Présidence du RN.
Vous l’avez manquée ? Relire la précédente revue de presse.
L’open data permet la publication des plans du Centre de Rétention Administrative de Perpignan
⊕ Le Point / Les plans de centres de rétention administrative publiés sur Internet
Un collectif a mis en ligne des données précises sur ces centres où transitent des étrangers expulsables, y compris des terroristes en fin de peine. Ce n’est peut-être pas tout à fait ainsi que le gouvernement imaginait les progrès de l’open data des données publiques. Geispolsheim, Hendaye, Lyon, Mayotte, Le Mesnil-Amelot, Metz, Perpignan… Grâce au travail d’un collectif d’extrême gauche, abaslescra, les plans détaillés de nombreux centres de rétention administrative (CRA) français sont actuellement consultables sur Internet, en quelques clics.
Piétonnisation à Perpignan, on en parle ?
⊕ Le Parisien / À pied, à vélo ou en transports en commun : où vivre sans voiture ?
C’est un projet titanesque – voire une révolution – que Laval (Mayenne) s’apprête à lancer : reconstruire la place principale de son centre-ville et en chasser les voitures, pour passer de 41 % d’espace laissé aux piétons à plus de 81 %, selon la mairie. Ce nouvel agencement a provoqué un tollé au sein d’une partie de la population, mais le maire de Laval, Florian Bercault (divers gauche), en est convaincu : « Notre objectif, c’est de craquer le système, assume-t-il. On sait d’où on part, on sait où on veut aller, il reste à mettre les moyens pour y arriver. » Laval n’est pas la seule ville à vouloir réduire la place de la voiture. Des petites agglomérations aux plus grandes, toutes y passent, à différentes échelles. (…) À Perpignan (Pyrénées-Orientales), Brides-les-Bains (Savoie), Clichy (Hauts-de-Seine) ou Saint-Sulpice (Tarn), et dans bien d’autres communes, on travaille également sur des projets de piétonnisation, plus ou moins ambitieux.
Le coup de cœur de France-Xavier Demaison pour le Pays Catalan
⊕ Le Figaro / François-Xavier Demaison, Frédéric Beigbeder, Stéphane Bern… Ces célébrités qui ont choisi de vivre loin de Paris
L’acteur et humoriste passe de plus en plus de temps dans les Pyrénées-Orientales, où il s’est lancé dans le vin. Où vivez-vous, aujourd’hui? Je me partage entre le pays catalan et Paris, où je ne passe plus que la moitié de la semaine. J’y ai encore des engagements, je dois m’occuper du Théâtre de l’OEuvre et de ma fille de 15 ans, qui vit à Paris. Nous y avons conservé un appartement et je fais des allers-retours avec Thuir. Pourquoi le pays catalan? C’est un choix qui résulte de ma rencontre avec Anaïs, ma femme. Elle m’a fait découvrir et aimer sa région. C’est là que vit sa famille et qu’elle a ses racines. J’ai compris à quel point elle était attachée à sa terre. C’est important pour elle de vivre parmi les siens.
Présidence du RN, le maire de Perpignan cherche à se démarquer de Jordan Bardella
⊕ Libération / RN : quand Aliot traite Bardella de «Sandrine Rousseau de droite»
Candidat à la tête du Rassemblement national, le maire de Perpignan instruit le procès en «identitarisme» de son jeune rival, accusé de flatter les «éléments les plus radicaux». Vous trouviez la campagne interne du Rassemblement national un peu morne? Louis Aliot, le très patelin maire de Perpignan et candidat face à Jordan Bardella pour la présidence du parti d’extrême droite , se charge de la réveiller. Dans une tribune parue jeudi après-midi dans l’Opinion , l’ancien directeur de cabinet de Jean-Marie Le Pen arrose à la sulfateuse son jeune concurrent, jamais cité mais visé de façon assez transparente à presque toutes les lignes. En ligne de mire?: le concept raciste de «grand remplacement», qu’il arrive à Bardella d’utiliser avec gourmandise .
⊕ L’Opinion / Présidence du RN: Louis Aliot continue son offensive contre les «identitaristes»
« Les Français ont condamné électoralement la ligne inquiétante portée par les adeptes les plus déterminés du “grand remplacement” », estime le maire de Perpignan. Dans une tribune publiée sur notre site internet, le maire RN de Perpignan franchit un cap dans son combat des tenants d’une « ligne identitaire ». Il estime que le terme de grand remplacement « est d’une grande ambiguïté : il est une marotte qui transforme ses ambassadeurs en Sandrine Rousseau de droite ».
⊕ Le Monde / En proposant un « Bad Godesberg » du RN, Aliot ouvre le débat idéologique face à Bardella
Le maire de Perpignan dénonce la tentation des idées identitaires au sein de son parti et appelle à « s’ouvrir à d’autres ». En s’affichant avec Serge et Beate Klarsfeld, il entend incarner la normalisation du Rassemblement national, loin d’Eric Zemmour. Depuis le début de leur campagne interne pour la présidence du Rassemblement national (RN), Louis Aliot et Jordan Bardella affirmaient qu’il n’y avait pas une feuille de papier à cigarette entre leurs idées respectives. Voilà soudain un épais cigare cubain entre le président par intérim du RN et le maire de Perpignan, qui enjoint au parti d’extrême droite « d’ouvrir le chemin d’un “Bad Godesberg” à la française ».
⊕ Huffington Post / Louis Aliot charge les adeptes du « grand remplacement »
À travers cette sortie, le maire de Perpignan vise implicitement son concurrent à la présidence du RN, Jordan Bardella. À bon entendeur, salut. Le maire RN de Perpignan Louis Aliot, candidat à la présidence de son parti, a durement critiqué « les adeptes les plus déterminés du ’grand remplacement’ » qualifiés d’« identitaristes », ce vendredi 14 octobre, dans une tribune à L’Opinion.
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