Article mis à jour le 20 septembre 2022 à 14:25
Entre enfance, parcours politique, gravissement des échelons et hommage ému à ses proches, Louis Aliot publie sa fidélité au Rassemblement National et surtout à sa cheffe, Marine Le Pen. Un ouvrage de 196 pages, aux éditions Quid Novi, dans lequel, il plonge le lecteur dans les coulisses du Front National, devenu Rassemblement.
Un livre politique qui n’a pas encore trouvé son public. En effet, après plus de 16 semaines en librairie, seulement 101* personnes ont acheté « Impossible n’est pas Français ». C’est certes plus que les 35 exemplaires vendus pas Philippe Morcellin, actuel Directeur Général des Services de Perpignan ; mais moins qu’un autre ancien candidat à l’élection municipale (159 exemplaires écoulés). Pourtant la parole politique de droite semble avoir son lectorat ; en témoignent les nombreux succès en libraire d’Éric Zemmour. En pleine rentrée littéraire, retour en détail sur les 17 chapitres du livre du maire de Perpignan : « Impossible n’est pas français ».
♦ La critique acerbe livrée par le journal Le Monde
Le journaliste Franck Johannés déclare l’ouvrage « pas sans intérêt » ; malgré « quelques passages pesants, assez dignes de l’idée qu’un maire se fait d’un journal municipal ». Louis Aliot viserait « à conforter sa stature, en soulignant sa relative indépendance à l’intérieur du mouvement, d’autre part à réaffirmer sa totale loyauté à Marine Le Pen ». Le maire de Perpignan « règle quelques comptes internes au milieu du discours habituel et souvent soporifique du parti ».
Selon le journaliste chargé des affaires police-justice au Monde, Louis Aliot « ménage l’avenir, se retient de vider son sac et ne distille que quelques anecdotes ».
Franck Johannés pointe également un livre « pas vraiment construit ; cinq pages, sur les résistants fondateurs du FN, sont recopiées au mot près sur Internet ».
♦ Les valeurs perdues de l’école selon Louis Aliot
Dès le premier chapitre de son livre, Louis Aliot revient avec nostalgie sur son enfance dans un village des Pyrénées ariégeoises. « Le village était comme à nous, rien qu’à nous : grand air, grands espaces, petites gens. (…) Un havre de paix où tout le monde se connaissait. Un cocon protecteur suspendu dans le temps ». Il rappelle très vite également ses origines familiales multiples ; revenant dès la 2ème page sur ce grand-père maternel, « juif pied-noir d’Alger ».
Louis Aliot se dit « le fruit de toutes ces différences. De cette complexité française. Une chance. Ariégeois et algérois, enraciné dans la riche pyrénéenne et imprégné de notre histoire coloniale ». Avant de parler « des larmes de (sa) mère », des larmes de rapatriées, Louis Aliot se souvient avec nostalgie de « l’insouciance et de la fraternité parfois virile des cours de récréation ». La nostalgie aussi de cette « vie là-bas ».
Pour le père de Louis Aliot, comme pour sa mère, il sera « impossible d’oublier la trahison du gouvernement de l’époque et de De Gaulle ». Pour sa mère, « impossible d’oublier le départ forcé de 1962 ». Un ressentiment qui amènera les parents de Louis Aliot à devenir « lepéniste » ; et à rejoindre celui qui « a osé abandonner son siège de député pour venir se battre et risquer sa vie à ses côtés ».
♦ L’antisocialisme en héritage
Alors quel est l’héritage politique de Louis Aliot ? Le nostalgerisme, même s’il s’en défend, est ancré via l’ambiance familiale ; mais aussi l’antisocialisme « en réaction au sectarisme de la gauche ». Des propos qu’il reprend très régulièrement dans ses prises de paroles publiques. Ce fut d’ailleurs le cas lors des dernières élections départementales, où le leader du RN, tenta en vain de ravir le département au « sectarisme de cette gauche haineuse » qui lui avait fait barrage jadis ; alors qu’il souhaitait faire de la promotion touristique de la mairie d’Ax-les-Thermes.
Outre la nostalgie de l’Algérie Française, le petit Louis se souvient des valeurs de l’école de son enfance. Celle d’avant 1981 et la victoire de François Mitterrand. « Ah ! si l’école avait pu rester dans cette lignée, où le travail, le mérite et la patrie étaient des valeurs partagées par tous… ».
Selon Louis Aliot, c’est la victoire de François Mitterand, que sa grand-mère surnommait « le falso » (le faux), qui a fait que « tout est parti en vrille ». (…) « C’est le basculement de l’école qui, avant même la submersion migratoire, a fait basculer la société tout entière ».
♦ Louis Aliot, de « l’élève trop dissipé » à l’école au « major » des universités d’été du FN
Le jeune Louis Aliot qui avait déjà été candidat sous la bannière FN aux élections régionales et cantonales de 1992 se remémore sa première rencontre avec Jean-Marie Le Pen. Il participe pour la première fois à une université d’été du FN. « La première fois où, venu de ma province, j’allais découvrir le FN de l’intérieur« . Un rassemblement studieux pour cadres et militants ; où le point d’orgue sera la rencontre avec Jean-Marie Le Pen, le dernier jour.
Alors que Louis Aliot se décrit lui-même comme un « élève trop dissipé » et « pas particulièrement brillant » à l’école, il finit « major » de l’exercice. En effet, lors de cette université d’été, « le travail de chaque « élève » était noté : rédaction de tracts, de communiqués de presse, intervention en public, débat sur un sujet donné. Il faut croire que ma timidité, dont j’avais le sentiment qu’elle me paralysait, avait, en réalité, été au moins partiellement domptée : j’ai en effet terminé premier » .
Ce qui lui vaut sa première interview dans la presse nationale ; une interview réalisée par celui qui en 1997 était encore journaliste pour le Figaro, Éric Zemmour. Sa position de « major », lui vaut aussi de déjeuner à côté de Jean-Marie Le Pen. « Lui que je vais côtoyer durant près de quinze ans, m’est apparu dès le départ pour ce qu’il est vraiment : un personnage complètement atypique. Un anar de droite. Attachant et désolant ».
♦ Le « détail » Le Pen et la survie du Front
Louis Aliot déclare avoir longtemps défendu Le Pen « tout d’un bloc ». Avant de finir par lui en vouloir « de déconstruire ainsi, par son goût du verbe qui claque, ce que les militants s’échinaient à bâtir ». Louis Aliot revient sur ce qu’il appelle « la provocation du détail ». Pour rappel, Jean-Marie Le Pen avait qualifié en 1987, les chambres à gaz de « point de détail de l’histoire de la Deuxième Guerre mondiale ». Des propos qui lui valent d’être condamné, en 1988, pour « banalisation de crimes contre l’humanité ».
Malgré la polémique et la condamnation, Jean-Marie Le Pen a réitéré ses propos à plusieurs reprises. Dont en 2008, année où Louis Aliot, alors secrétaire national du parti, rédige sa lettre de démission. « Je trouve que ces propos sont particulièrement stériles, politiquement suicidaires, qu’ils n’apportent rien au débat, si ce n’est des querelles sans fins, l’assurance de persécutions pénales ou financières et des suspicions d’antisémitisme ».
Louis Aliot précise qu’avec les années, il a fini par « rompre aimablement avec Jean-Marie Le Pen » ; tout en s’abstenant de voter contre son exclusion du parti demandée par Marine Le Pen en 2015. En effet, Louis Aliot déclare avoir « une « dette d’honneur » vis-à-vis de celui à qui l’histoire, j’en suis convaincu, rendra un jour justice au moins pour ses indéniables courages et talents, au milieu d’une époque qui en manquait tant ».
En 1999, quand éclate la guerre entre Bruno Mégret (numéro 2 du FN) et Jean-Marie Le Pen, Louis Aliot déclare ne pas avoir « une once d’hésitation ». Considérant que Bruno Mégret, qualifié de « brillant polytechnicien », n’avait pas le charisme d’être numéro 1. C’est à la faveur de cette guerre fratricide que Louis Aliot devient directeur de cabinet de Jean-Marie Le Pen.
♦ « Extrême droite » – « L’épouvantail » dixit Louis Aliot
Comment qualifier le Front National devenu Rassemblement National ? Pour les chercheurs, et les spécialistes tel Nicolas Lebourg, il n’y a aucun doute ; le Front devenu Rassemblement est bien un parti d’extrême droite. C’est sans compter sur la volonté chevillée au corps de Louis Aliot et de Marine Le Pen de dédiaboliser le parti ; un FN jugé trop extrémiste par ceux qui en ont pris les rênes. Désormais, les dirigeants du parti souhaitent devenir fréquentables ; attirer à eux des personnalités de droite. Et cela fonctionne, mais on est loin du tsunami de ralliement. Seules quelques personnalités de second rang rejoignent le RN.
Mais qu’en pense Louis Aliot dans le chapitre 6 intitulé « Vous avez dit « extrême droite » ?« . Il accuse « les sachants, les professeurs et spécialistes de tout, mais expert en pas grand-chose » de vouloir brandir ce qualificatif tel un épouvantail. Pour preuve, le numéro 3 du parti se lance dans une liste non exhaustive (5 pages) de ces « authentiques Résistants ayant appartenu au FN ». Même si depuis quelques années, Marine Le Pen et Louis Aliot ont renoncé à traîner en justice ceux qui qualifiaient leur parti « d’extrême droite », il n’en demeure pas moins que ces mots hérissent le poil du maire de Perpignan.
♦ Les « amoureux de la liberté et des défenseurs du débat »
Pour contrer les arguments de ceux qui accusent le Rassemblement National de la violence dévolue aux extrémistes de droite, Louis Aliot y va de sa tirade. « Une fois de plus, c’est prendre les gens pour des imbéciles, tant nous sommes des amoureux de la liberté et des défenseurs du débat. Le RN se range résolument à l’idée d’une conquête pacifique du pouvoir… ».
Les propos haineux et agressifs tenus par les soutiens ou militants voire par les cadres eux-mêmes ne rentrent pas, de facto, dans cette définition de la violence.
Le débat et la contradiction avec la presse locale ? Ils ont rapidement tourné court entre le maire de Perpignan et celle qu’il qualifie régulièrement de presse locale d’opinion et dont il a décidé – dixit le dernier bulletin municipal – de se passer. Honneur est fait aux plateaux nationaux.
Flanqué de 4 gardes du corps municipaux, Louis Aliot sait ce qui est « juste » et ce qu’est « le vrai journalisme ». Alors pour châtier les mauvais journalistes, pourquoi ne pas user des mêmes méthodes que lors de la triste affaire de Samuel Paty et jeter en pâture en mai dernier sur les réseaux sociaux le nom d’un journaliste de L’Indépendant ? Faire valoir son droit de réponse dans le dit média serait un symbole trop faible pour un amoureux « de la liberté ou de la défense du débat ».
Pour rappel, Louis Aliot avait déjà fait preuve de courtoisie en 2014 à l’égard d’une journaliste de L’Indépendant. Un texto envoyé au mauvais destinataire signifiant « Je viens de signifier à cette pute de (X), que dimanche je ne me déplacerai pas dans sa boutique. Elle courra derrière l’info. J’écris ce matin à son patron… »
Lors de la débâcle des élections régionales et départementales, certaines voix – y compris au sein du parti – s’élevaient pour appeler au retour d’une certaine radicalité dans le propos. Réponse ferme et définitive de la présidente et candidate de 2022 ; « Nous ne reviendrons pas au Front national ». Une ligne difficile à tenir à la lecture des commentaires des sympathisants de Louis Aliot quand ce dernier souhaite un bon Ramadan aux Français de confession musulmane.
♦ Louis Aliot revient sur le 21 avril 2002
Il qualifie la présence de Jean-Marie Le Pen au second tour de l’élection présidentielle de « coup de tonnerre » ; et ses 18% du second tour de « coup de massue ». Louis Aliot, alors coordinateur « chargé de mettre de l’huile dans les rouages » de la campagne de Jean-Marie Le Pen, se confie. « Soyons honnêtes : pas un instant avant la toute fin de campagne, je n’imaginais possible la présence de notre candidat à ce second tour ». Après le coup de tonnerre de la qualification, vient la déception du score du second tour.
« Jamais, évidemment, même dans mes plus sombres pronostics, je n’aurai parié que nous resterions scotchés à 18 % au second tour ; mais jamais non plus, il est vrai, je n’aurai imaginé que le déferlement de haine auquel nous aurions soudainement à faire face soit aussi intense ». Après la surprise de la qualification, Louis Aliot évoque « cette offensive tous azimuts – pas une journée sans manifestations », qu’il n’avait pas non plus « vu venir ».
♦ Louis Aliot et Marine Le Pen, une même idée du renouvellement du FN
« Nous partagions exactement la même vision de la cinglante défaite du second tour, et des pistes à défricher pour éviter son renouvellement. Et surtout nous permettre, un jour, d’accéder enfin au pouvoir ». Une volonté de mettre du sang neuf qui se heurte à la vieille garde du parti. Ceux qui, comme Bruno Goldnish, accusent ces « nightclubbers » de n’avoir qu’un seul objectif, « briser les « fondamentaux » du FN ».
Bref, Louis Aliot voit sa stratégie validée par la Marine Le Pen. Il faut dédiabolisier, rassembler, prôner l’ouverture, pratiquer la politique de « la main tendue ». Une stratégie qui vaudra à Marine Le Pen et à cette nouvelle génération qui veut faire oublier « le détail », « des propos ignobles tenus par les milieux d’extrême droite proches de Mégret, des identitaires, de Rivarol ou de Minute ».
♦ Devenu secrétaire général du FN, Louis Aliot devient « Loulou la purge »
En 2004, Louis Aliot fait le tour des fédérations du parti pour y « écart(er) un certain nombre de malfaisants qui traînaient dans (les) instances ». Louis Aliot « fait le ménage » ; écartant les éléments les plus radicaux qui, « arcboutés sur le passé », empêchaient le FN « d’envisager l’avenir ».
Louis Aliot qualifie certains d’entre eux « de « fous furieux », comme il en existe du reste partout : illuminés, obsédés de la race, intégristes de tout poil et de toute obédience ».
La démarche de Louis Aliot lui permet de s’afficher comme un homme politique désireux de faire du FN, un parti fréquentable. Durant cette mue, le parti se fait déborder par Nicolas Sarkozy et « son ébouriffante personnalité : son talent, son énergie, et l’incroyable dynamisme qu’il a su insuffler à sa campagne ». La campagne de 2007 voit Jean-Marie Le Pen chuter à la 4ème place au soir du 1er tour. Avec seulement 10,4% des voix, Louis Aliot au-delà du « siphonnage » des voix par Nicolas Sarkozy, tente l’idée que cette énième « élection fut l’élection de trop » pour Jean-Marie Le Pen.
♦ La chute du patriarche et l’avènement de la « luciole » Marine
Malgré l’échec cuisant de 2007, Louis Aliot voit dans les législatives une lueur d’espoir. « Cet extraordinaire candidat, mais piètre président, nous coûtera aussi l’une de nos plus cinglantes défaites et la ruine financière du parti, lors des législatives suivant la présidentielle : sur 577 candidats, un seul qualifié au second tour ! Mais pas n’importe qui : Marine. Au milieu du brouillard, une luciole d’espoir… «
♦ Perpignan, ville de cœur et d’élections
Louis Aliot se lance dans le chapitre 13 de son livre dans une ode à Perpignan. La ville de naissance de son frère où Louis Aliot venait régulièrement durant son enfance. Une ville qualifiée « d’agréable et sereine et dont l’ensoleillement avait de quoi rendre jaloux la plupart des villes françaises ». Celui qui se présentera 4 fois à l’élection municipale pour conquérir la ville déclare son amour à « sa culture, sa diversité, son histoire, ses accents et sa bannière ».
Politiquement, c’est en 2002, que débute son aventure en terre catalane.
Jean-Marie Le Pen l’envoie pour être le candidat du Front aux législatives. Au soir du 1er tour, il remporte 19,5% des suffrages. Pas suffisant pour le second tour ; mais cette aventure lui permet de constater « que les idées du FN avaient déjà fait largement leur chemin chez une multitude de Perpignanais« . De scrutin en scrutin, avec plus ou moins de succès, Louis Aliot note que ses idées gagnent du terrain et que les citoyens de Perpignan adhèrent aux réponses qu’apporte le FN aux problèmes du pays. Mais Louis Aliot l’admet ; il manquait d’enracinement local pour conquérir la ville.
♦ En juin 2020, Perpignan tombe dans l’escarcelle du RN
Pour l’élection de 2020, Louis Aliot a bien retenu la leçon. Alors qu’il s’en était fallu de peu en 2014, il redouble d’efforts pour attirer à lui des encartés de gauche ou de droite. Mais aussi des personnalités de la société civile qui le font apparaître fréquentable de tous ; y compris des milieux culturels qui le honnissaient jusque-là.
Résultat gagnant : « Ça y est, c’est fait ! Il est un peu plus de 19 h, réunis dans une petite salle surchauffée de ma permanence électorale avec ma compagne Véronique, Nicolas Lesage, Jérôme Rivière, Jean-Paul Garraud et quelques proches, que j’ai compris, ce 28 juin 2020, que les Perpignanais viennent de m’élire à leur tête avec plus de 1553 voix d’avance sur mon concurrent, le maire LR sortant, Jean-Marc Pujol« .
Pour Louis Aliot, Perpignan devait être le début d’une conquête territoriale ; le département, puis la Région devaient tomber dans l’escarcelle du RN.
Mais les électeurs en ont décidé autrement. Et ce sera un cinglant échec pour le nouveau maire de Perpignan, qui malgré sa victoire sur la ville centre, ne parviendra à conquérir aucun des 6 cantons perpignanais.
Le RN échoue à s’implanter au sein du conseil départemental. Et à la Région, le candidat, pourtant symbole de l’union des droites, chère à Louis Aliot, fait élire moins de conseillers régionaux qu’en 2015. Quand Louis Aliot était la tête de liste.
♦ Marine Le Pen, la luciole d’espoir pour 2022
Louis Aliot conclut son livre sur une note d’espoir personnel. Il constate que les idées de Marine sont désormais majoritaires dans l’opinion. Et que le RN n’est plus en position de « jouer le rôle de béquille d’une droite décadente ». Au contraire, le RN est prêt à « devenir la première force politique nationale et populaire autour de laquelle s’agrégeront toutes celles et tous ceux qui souhaitent la renaissance nationale ». Un processus en cours, selon Louis Aliot.
*Source GFK. Ce chiffre correspond aux ventes papier et web via les librairies ou en grandes surfaces. Ce cumul de ventes ne tient pas compte des éventuels achats par des collectivités, type, mairies, ou médiathèques. GfK collecte et enrichit, toutes les semaines, les données de vente des livres en sortie de caisse de plus de 4.000 points de vente en France (hors Corse, Outremer, exportations et ventes sur salons). Ces points de ventes, non exhaustifs, sont représentatifs de la distribution des livres en France : librairies, grandes surfaces spécialisées en produits culturels, sites de ventes en ligne, grandes surfaces alimentaires, grandes surfaces spécialisées non livre…
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